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La CHEVALERIE (49) Trélazé - 1966

Publié le

La plaquette de l'établissement 1966.

La plaquette de l'établissement 1966.

La Chevalerie est un établissement situé à Trélazé dans le département du Maine et Loire (49) qui a accueillit dans les années 1950/1980 des enfants énurétiques (pipi au lit).
La Chevalerie est un établissement situé à Trélazé dans le département du Maine et Loire (49) qui a accueillit dans les années 1950/1980 des enfants énurétiques (pipi au lit).
La Chevalerie est un établissement situé à Trélazé dans le département du Maine et Loire (49) qui a accueillit dans les années 1950/1980 des enfants énurétiques (pipi au lit).

La Chevalerie est un établissement situé à Trélazé dans le département du Maine et Loire (49) qui a accueillit dans les années 1950/1980 des enfants énurétiques (pipi au lit).

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T
J'ai été pensionnaire de La Chevalerie, pavillon Bayard, au milieu des années 60. Pour faire écho au commentaire de Pommier, je dois dire que je garde également un souvenir ému des séances de lampe bleue chauffante au dessus des coucougnettes au vu de tous, du plat de betteraves rouges hebdomadaire qu'on me forçait à ingurgiter après le repas, pendant que mes co- pensionnaires faisaient la sieste post- méridienne, des gâteries que nos parents nous envoyaient par colis et qui étaient systématiquement supprimées pour être stockées dans le grand placard du réfectoire et distribuées au compte- goûtes une fois par semaine si on avait été sage, de la corvée mensuelle de cirage de godasses de tout le pavillon, éducatrices comprises, qu'on effectuait à deux à tour de rôle, le soir pendant la veillée, des fessées qu'on nous administrait à la moindre incartade et qui était le châtiment corporel en vigueur, à l'époque, dans cet établissement... Autres temps, autres moeurs, comme disait l'autre... Ceci dit, je suis sorti de là guéri... Et pour cause !...
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T
J'ai été pensionnaire au Château de la Chevalerie, pavillon Bayard, au milieu des années 60.<br /> En écho au commentaire de Pommier, je garde un souvenir ému des séances de lampe bleue chauffante au dessus des coucougnettes, effectivement au vu de tous, du plat de betteraves rouges hebdomadaire qui me filait la gerbe et qu'on me forçait à ingurgiter pendant que mes co- pensionnaires faisaient la sieste post- méridienne, de la corvée mensuelle-- il me semble- de cirage de godasses de tout le pavillon qu'on effectuait à deux, à tour de rôle, le soir, pendant la veillée et des fessées qu'on nous administrait à la moindre incartade, et qui était le châtiment corporel en vigueur, à l'époque, dans cet établissement. Autres temps, autres moeurs, comme disait l'autre... Ceci dit, je suis sorti de là guéri... Et pour cause !...
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P
Bonjour<br /> <br /> Ancien pensionnaire au début des années 70 je pense. Très peu de souvenirs mis à part la lampe de couleur sur les parties intimes (aux yeux de tous) et l'andouillette du mercredi qu'on nous forçait à manger pendant des heures ^^
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N
Travaillant comme monitrice au Château des Hayes, où je ne suis restée que quelques mois, ayant quelques problèmes avec les méthodes éducatives de la direction, je garde néanmoins de très bons souvenirs avec les enfants, lors des jeux, des promenades....mais il est certain qu'il y aurait beaucoup à dire...
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Je pense qu'il faut tout dire....ce blog est destiné à ça.
O
Bonjour aux anciens "pensionnaires". Je devrais plutôt dire prisonniers.<br /> Il faudrait changer le titre en "Histoire d'un camp de concentration à la française“, cela ressemblerait plus à la vérité.<br /> J'avais sept ou huit ans, jeune, pour apprendre la médiocrité et la méchanceté de l'être (in)humain...
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